4 index | ||||||
Prononciation des lettres grecques | ||||||
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Les lettres qui se prononcent I |
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Les lettres et les diphtongues ι, η, υ, ει, οι se prononcent i ιδέα (idé-a)
idée |
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Cas particulier du Υ, υ |
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Lorsque le υ est entre deux consonnes il a la valeur d’un I ordinaire μύθος , mithos , mythe πυραμίδα, piramida, pyramide Lorsqu’il est précédé des voyelles α, ε, η, il a la valeur d’un V αυγό, avgo, oeuf ζηλεύω, zilèvo, je suis jaloux Lorsqu’il est précédé d’une voyelle et suivi des consonnes κ, π, τ, alors il se prononce F αυτός, aftos, lui ζηλευτός, zileftos, jalousé Lorsqu’il est précédé d’un ο il se pronounce OU μουλάρι, moulari, mullet μουδιασμένος, moudiasmènos, engourdi |
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Prononciation du Γ, γ |
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La lettre Γ, γ a une prononciation raclée entre le G et le R γάλα, gala, lait γονείς, gonis, parents γλυκός, glikos, sucré Lorsque γ est suivi des voyelles ι, ε, υ, η, il se prononce Y comme Yaourt για, yia, pour γη, γέα, yi ou yéa, terre γεωγραφία, yéografia, géographie γύψος, yipsos, plâtre Lorsque γ est suivi d’un κ on a un G comme pour Gronder, lanGue γκρινιάζω, griniazo, je grogne αγκάλιασμα, angualiasma, étreinte Lorsque γ est suivi d’un autre γ la prononciation est similaire à la précédente αγγείο anguio, récipient φεγγάρι, finguari, lune |
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Particularité de la lettre sigma, Σ |
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Cette lettre a trois graphies, le sigma majuscule s’écrit ainsi Σ, le sigma minuscule σ et un autre sigma pour la terminaison des mots que l’on note ς. Dans les trois cas, la prononciation est identique c'est-à-dire équivalente à un S français. Ο σάτυρος, o satirοs, le satyre Ο ποδοσφαιριστής, O podosféristis, le footballeur |
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Les consonnes confondues ou muettes |
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Elles représentent une grande difficulté de l’orthographe grecque mais ce sont de cas limités. Il s’agit de consonnes se trouvant côte à côte dans un mot ayant un son identique mais une graphie différente, comme le υ lorsqu’il se prononce V suivi d’un β qui se prononce également V ou d’un υ suivi de la lettre φ Εύβοια, Èvia, Eubée εύφλεκτος, èflektos, inflammable ευφυής, èfiis, intelligent επευφημία, épèfimia, ovation, acclamation |
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les diphtongues |
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La prononciation des diphtongues αϊ, αη, οϊ, οη se lit en les détachant les lettres. ρωμαϊκός, roma-ikos, romain, adj. αηδόνι , a-idoni, rossignol νεοϊδεάτης , néo-idéatis, quelqu’un qui apporte des idées nouvelles βοήθεια, vo-ithia, aide, secours |
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Place de l’accent |
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on ne rencontre qu’un seul accent tonique pour accentuer les mots. Cet accent est placé au début, au milieu ou à la fin d’un mot, il est toujours placé au-dessus d’une voyelle. Insistance sur la première syllabe έθνος, èth-nos, nation άτιμος, a-timos, malhonnête είσοδος, i-sodos, entrée Insistance sue la deuxième syllabe σελίδα , séli-da, page γραμμάρια, gramma-ria, gramme διαθήκη, diathi-ki , testament Insistance sur la dernière syllabe αριθμός, arithmos, chiffre λαχαναγορά, lahanagora, marché aux légumes εκατοστό, ékatosto, centième Cas avec diphtongues. χαϊδεύω, ha-idè-vo, caresser ξεϋφαίνω, ksé-vfè-no, défaire θεϊκός, thé-ikos, divin μυϊκός, mi-ikos, musculaire |
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Place de l’accent selon la fonction d’un mot |
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Le grec étant une langue à déclinaison les terminaisons des mots varient selon leur fonction, très souvent l’accent tonique change aussi de place. Masculin singulier Nominatif : ο άγγελος, o an-guélos, l’ange Génitif : του αγγέλου tou angué-lou, de l’ange Accusatif : τον άγγελο ton an-guélo, l’ange Féminin singulier Nominatif : η διάμετρο, i dia-métro, le diamètre Génitif : της διαμέτρου, tis diamé-trou, du diamètre Accusatif : τη διάμετρο, ti dia-métro, le diamètre Neutre singulier Nominatif : το σπίτι, to spi-ti, la maison Génitif : του σπιτιού, tou spitiou, de la maison Accusatif : το σπίτι, to spi-ti, la maison |
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Place de l’accent selon dans la conjugaison d’un verbe |
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Tout comme les substantifs, la position de l’accent varie aussi pour les verbes selon le temps où ils sont conjugués παίρνω, per-no, je prends έπαιρνα, èper-na, je prenais παίρναμε, per-namé, nous prenions βλέπω, vlè-po, je vois έβλεπα, è-vlépa, je voyais βλέπαμε, vlèpame, nous voyions φεύγω, fèv-guo, je pars έφυγα, è-figa, je partais φεύγαμε, fèv-gamé, nous partions Le but de ces exemples est de situer la place des accents, ceci explique pourquoi je ne rentre pas dans des détails grammaticaux.
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Grec ancien
Pourquoi en Grèce on n'utilise pas la prononciation Erasmiènne? D'abord cette prononciation est née hors de Grèce, ensuite il faut prendre en compte l'évolution de la langue – la langue grecque a deux évolutions parallèles - Voir l'arbre de la langue grecque - le grec dit moderne qui a évolué à partir de la koinè alexandrine (grec ancien attique vulgarisé de l' époque d'Alexandre le Grand) - et le grec issu du courant atticiste qui est né au 1er siècle avant JC - Le courant atticiste s'opposa vivement à la vulgarisation de la langue et retourna au grec ancien de l'époque classique au niveau de la morphologie de la langue mais pas de la phonétique – Ce grec-là notamment fut utilisé par les Romains comme Cicéron, César à l'époque Gréco-Romaine- il fut aussi adopté par l'église à partir des trois hiérarques mais aussi par de nombreux écrivains Grecs comme Libanios et ses nombreux disciples, Pausanias, Plutarque, Strabon, Orapollon etc... qui utilisaient ce grec issu du courant atticiste - Le grec issu de ce courant se prolongea jusqu'à une époque récente tant pour l' écrit (surplantant souvent la langue démotique) mais aussi à l'oral dans les milieux cultivés - Eugenios Voulgaris avait traduit toute l'oeuvre de Voltaire en grec attique – Ce même courant aboutit avec la Renaissance de l'Etat grec en 1831 au grec savant avec la fameuse réforme de Korais et devint langue officielle de l'état grec jusqu'en 1976 mais c'était aussi une langue littéraire - Voir l'espace grec savant de la vidéothèque Homère. A l'intérieur du courant atticiste il existait les plus conservateurs qui désiraient le retour au grec ancien ou attique comme Soutsos et d'autres hommes de lettres – Les atticistes ont toujours parlé grec ancien ou savant avec la phonétique du grec dit moderne - Le grec ancien n'a jamais été une langue vraiment morte. D'ailleurs il existe des publications en grec ancien récentes - notamment la traduction de Dante en hexamètre que j'ai mis en ligne sur Projet Homère. La divine Comédie - Hadès - et La divine comédie - Purgatoire de K. Mousouros en 1882 Quant à la phonétique du grec actuel est loin d'être moderne. Ex: le Υ (ύψιλον) qui est passé dans l'alphabet latin puis français sous la forme de i-grec et non de u-grec - en latin il se prononce ou et pas u - Le vocabulaire des langues européennes qui utilisent les termes d'origine grecque avec un Y prononcent cette lettre comme I (mythe- myth) - (abysse - abyss) - (analyse - analysis) - (anonyme - anonymous) - (asphyxie - asphyxia) - (cycle - cycle) - (cynique - cynic) - (kyste - cyst) etc... etc.... D'autre part le Y se prononce aussi comme un V lorsqu’il
est précédé des voyelles α, ε, η - La prononciation V pour le
Y se confirme en grec archaïque par la présence du Ϝ (digamma)
- exemple: αὐλὸς forme archaïque αϜλὸς - αὐλὴ forme
archaïque αϜλὴ etc... Cette erreur sur le Y se confirme avec l'alphabet qu'utilise les tsakoniens - Le tsakonien est le seul dialecte grec non issu de la koinè mais du laconien archaïque - La bonne conservation des sons de l'antiquité est due à l'isolement quasi total des populations (jusqu'à un passé assez récent les habitants de Tsakonie parlaient le tsakonien comme langue maternelle et ignoraient le grec moderne) - il s'agit d'un dialecte dorien antique comme cela est attesté - il est remarquable qu'ils prononcent parfaitement l'esprit Δασεία qui a disparu en grec moderne- mais aussi le F (digamma) , le Q (koppa) etc.. -Je suggère mon article sur le tsakonien ainsi que d' écouter la vidéo que j'ai monté sur ce sujet avec extrait de conversation dialectique et sous-titrage (tsakonien-grec moderne) - En tsakonien il n'existe pas de littérature proprement dite mais des poèmes et des chansons écrites dans ce dialecte - Pour le son U: assez léger que l'ont entend rarement, pour quelques onomatopées surtout, ils utilisent un autre lettre qui ressemble à un 8 ouvert en haut plus exactement - cette lettre en dialecte attique est l'équivalent du ou et on la retrouve dans plusieurs écrits - En dorien c'est l'équivalent du son U: quant au Y ( i-grec) en tsakonien ou dorien, il se prononce comme en grec dit moderne c'est-à-dire I - et les chiens en Tsakonie font GAV - GAV et non Ga U : à l'Erasmienne ou même avec la prononciation de reconstitution. Passons à présent à la diphtongue αι - sur un papyrus rare du 2ème siècle qui est en fait un cours de grec pour apprenants étrangers - il est noté que cette diphtongue se prononçait é c'est à dire comme en grec moderne chez des Eoliens dans l'antiquité qui ne prononçaient pas le ι (iota abscrit) - Malheureusement certains sans apporter de preuves à leurs propos avancent que cette prononciation date du Moyen-âge. Voici plutôt les informations du papyrus en question
P.Oxy. III, 469 : manuel de grammaire grecque Ce fragment d'un grammairien à l'usage des hellénophones non Grecs.
Passons à présent à Platon (peut-il y avoir meilleur temoin que Platon?) - Platon dans Cratyle se refère justement à la prononciation de certaines lettres comme le η, δ , qui rejoignent la prononciation d'aujourd'hui - voici ce qu'il rapporte - Vous pouvez lire le livre en entier avec les traductions sur la page de Platon
traduction du passage Socrate - Tu sais que nos ancêtres faisaient beaucoup l'usage des lettres ι (Ι) et δ(Δ) chose que l'on remarque toujours chez le langage des femmes qui conservent mieux que nous l'ancienne tradition - alors qu'aujourd'hui nous substituons ει et η(Η) au ι(ι) et le ζ(Ζ) au δ(Δ) parceque ces lettres nous paraissent avoir plus de noblesse. Hermogène - Dans quel cas?? Socrate - Par exemple autrefois on disait tantôt "ἱμέρα tantôt ἑμέρα- aujourd'hui nous disons ἡμέρα (jour) Hermogène - En effet Socrate - Ne vois-tu pas aussi que le terme ancien répond seul à la pensée de celui qui créa les noms? C'est parce que les hommes désiraient ἱμείρουσιν de voir succéder la lumière aux ténèbres de la nuit, qu'ils ont donné au jour le nom de ἱμερα
Platon nous explique qu'il existait deux prononciations pour le η (Η) tantôt comme un é tantôt comme un i comme aujourd'hui. Je ferai remarquer que la variation pour le η (Η) selon les termes tantôt en i tantôt en é est un phénomène que l'on retrouve de nos jours encore dans le dialecte grec du Pont-Euxin, cette caractéristique se retrouvait également dans le dialecte grec Cappadocien- Platon voit aussi qu'au niveau du δ (Δ) il y avait confusion avec ζ(Ζ) c'est à dire un son là aussi proche de celui qu'on entend de nos jours - Ces éléments rapportés par Platon qui vivait à l’époque classique sont une preuve indéniable. Ce dialogue met en relief que dans l'antiquité, il y avait confusion sur la prononciation de certaines lettres. De plus il faut tenir compte que le dialecte attique comportait de nombreuses variantes locales phénomène que l'on retrouve dans la plupart des dialectes grecs. Cette confusion existe aussi pour le cas du B. Les adeptes de la prononciation Erasmienne ou de reconstitution se base surtout sur le fameux Βῆ Βῆ ou des exemples comme celui de γαμβρός qui s'écrit aujourd'hui γαμπρός car μπ =B pour soutenir leur point de vue mais ils omettent de prendre en exemple les cas où l'orthographe du B remplacait le F (δίγαμμα) qui se prononçait VE (le F (δίγαμμα) existe encore dans le dialecte tsakonien de nos jours). Dans le dialecte tsakonien qui provient du dorien et non de la Koinè le son V pour B est bien présent et là il s'agit d'un témoignage vivant que nul ne peut contester. Voici deux exemples mais il en existe bien d'autres sur le Liddell Scott que vous pouvez consulter dans la Bibliothèque Homère - Section 1 - Comme on peut s'apercevoir ici, le second terme est un des termes les plus anciens de la langue grecque puisqu'il s'agit du terme " soleil " - Et comme dit le proverbe grec : Οὐδὲν κρυπτὸν ὑπὸ τὸν ἥλιον (ἢ ἀβέλιον καί ἀFέλιον) - Rien ne peut être caché par le soleil
Ici il s'agit d'une épigraphie du 7ème siècle avant JC retrouvée à Corinthe où le terme ἀμοιβὴ est mentionné ἀμοιϝάν avec ϝ (δίγαμμα)
Ces exemples attestent bien que l'on avait le son V pour B dès la haute antiquité. Au 9eme siècle on a naissance de l'alphabet glagolitique qui précéda l'un siècle le cyrillique (alphabet basé sur le grec mais aussi l'hébreu pour transcrire le vieux slavon) - Examinons la prononciation des lettres en comparaison au grec - Il ressort que le B se prononçait V et non B et que le H se prononcent I qui est d'ailleurs une prononciation très ancienne comme le fait remarquer Platon pour le Η dans Cratyle.
Voici à présent la phonétique du grec
telle qu'elle
est
enseignée dans différents pays - Ils
utilisent l'Erasmienne en
l'adaptant à la phonologie de
leur langue d'origine
voir Wiki en anglais
et
non pas à celle du
grec - Quelle était la prononciation du grec
du Vème siècle ?? - Mes remarques ne sont point
pour dire que la prononciation est inchangée cela serait ridicule après plus
de 2500 ans mais
le problème majeur réside sur le fait qu’il n’y avait pas une prononciation
unique du grec attique
et standardisée et qu’il comportait de
nombreuses
variantes
locales comme cela est le cas pour les autres dialectes grecs.
L’autre inconvénient est qu'on ne possède aucun enregistrement
sonore– Les
meilleurs témoins
restent
les dialectes comme:
le tsakonien,
le
chypriote
,
le grec du Pont Euxin etc.. qui
donnent des informations précieuses
(les tsakoniens prononcent toujours l'esprit δασεία,
les chypriotes la double consonne etc...), les papyrus sur les cours grec,
les fautes
d'orthographe sur
les épigraphies, les jeux de mots d'Aristophane plus que les approches
théoriques
surtout au niveau des diphtongues. Il ne faut pas perdre de vue également que la langue grecque remonte au moins au Mycénien et les premières œuvres de
la littérature européenne
l’Iliade et l’Odyssée d’ Homère furent rédigées dans un autre
dialecte que l’attique.
Aussi
le choix en Grèce d’utiliser la prononciation du grec dit moderne pour le
grec ancien se trouve justifiée car il s’agit d’une prononciation issue
d’une évolution naturelle
et non artificielle.
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κτλ. και τα λοιπά, etcetera . αρ. αριθμός, numéro, nombre βλ. βλέπε , voir γραμμ. γραμμάρια, grammes Κος. κύριος, monsieur Κα. κύρια , madame Δδα. δεσποινίδα, mademoiselle δηλ. δηλαδή, c’est à dire π.μ. προ μεσημβρία, avant midi (exemple 7 π.μ. 7 h du matin) μ.μ. μετά μεσημβρία, après-midi (exemple 7 μ.μ. 7h du soir) μ.Χ. μετά Χριστού, après Jésus Christ π.Χ. Προ Χριστού, avant Jésus Christ σημ. σημείωση, note χιλ. χιλιάδες, milliers χμ. χιλιόμετρα, kilomètres τ.μ. τετραγωνικά μέτρα, mètres carrés μ. μέτρα mètres κυβ. κυβικά, cubes ΥΓ. υστερόγραφο, post-scriptum σ. σελίδα page π.χ. παραδείγματος χάρη, exemple δρχ. δραχμές, drachmes Αγ. Γρ. Αγια Γραφή, Ecriture Sainte άγ. άγιος, saint Α. ανατολικός, Est Β. βόρειος, Nord Δ. δυτικός, Ouest Ν. νότιος, Sud ΒΑ βορειοανατολικός , Nord Est ΒΔ βορειοδυτικός, Nord Ouest ΝΑ νοτιοανατολικός Sud Est ΝΔ νοτιοδυτικός, Sud Ouest Ιαν. Ιανουάριος, Janvier Φεβ. Φεβρουάριος, Février Μάρτ. Μάρτης, Mars Απρ. Απρίλιος, Avril Μάη Μάη, Mai ( pas d’abréviation) Ιουν. Ιούνιος, Juin Ιουλ. Ιούλιος, Juillet Αύγ. Αύγουστος, Aout Σεπτ. Σεπτέμβριος, Septembre Οκτ. Οκτώβριος, Octobre Νοέμβρ. Νοέμβριος, Novembre Δεκ. Δεκέμβριος, Décembre |
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La ponctuation grecque |
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. τελεία téli-a : point (Pour achever une phrase ) , κόμμα ko-ma : virgule (Pour marquer un petit arrêt dans la phrase) ‘ άνω τελεία a-no téli-a : point d’en haut (Pour marquer un arrêt plus petit qu’un point mais plus grand qu’une virgule) ; ερωτηματικό érotimatiko : (Attention ! le point virgule est un point d’interrogation grec) ! θαυμαστικό thavmatiko : point d’exclamation (Pour monter l’admiration, la surprise comme en français) : διπλή τελεία téli-a : deux points ( Pour donner un résultat ou faire une énumération) ’ απόστροφος apos-trofos : apostrophe ( Joue le même rôle qu’en français) … αποσιωπητικά aposiopitika : points de suspension (Montrent que la phrase n’est pas achevée) - παύλα pav-la : tiret ( Lors d’un dialogue pour déterminer les personnes qui parlent) -……- διπλή παύλα dipli pav-la : double tiret (Joue le rôle de la parenthèse) (……..) παρένθεση paren-thési : parenthèse (On y enferme un mot, une phrase qui expliquent ou complètent l’idée de celle-ci) «…….» εισαγωγικά isagogika : guillemets (On y enferme le mot ou les mots formulés par une personne) |
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- Voir aussi les dialogues sonores pour débutants que j'avais également enregistrés | ||||||
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